Chaque nouveau numéro du magazine Flow apporte avec lui de beaux articles qui nous font revisiter certains sujets que l’on connait déjà – mais que l’on oublie, encore! Le dernier qui m’a marqué porte sur le vrai bonheur, celui qui réside dans l’extrême normalité du quotidien.
Une fois encore, j’ai l’envie de vous le partager. Plongez-y sans résister…
Une pensée erronée :
Nous pensons que seul le contraire de ce qui nous rend malheureux peut nous rendre heureux. Nous faisons alors des allers-retours entre les extrêmes parce que chaque idéal a ses inconvénients. Une autre erreur est de surestimer l’impact émotionnel d’un événement futur. Nous pensons que nous allons être submergé de joie une fois que nous aurons rénové cette petite ferme en campagne bretonne, ou que nous connaitrons l’extase permanente quand nous aurons enfin trouvé le véritable amour. Mais la réalité est plus morne. Et avant d’avoir le temps de dire ouf, vous pourriez bien succomber de nouveau à l’erreur numéro un _ la pensée dichotomique _ et dès lors envisager un nouveau changement, radical.
À la recherche de l’idéal…
Poursuivre un idéal peut se révéler très frustrant, il se trouve tellement loin de nous que l’on finit par ne rien faire pour l’atteindre. On reste là où l’on est, rêvant à combien les choses pourraient être meilleures. On appelle cela, stratégie d’évitement. C’est une façon de ne pas avoir à penser à ce que nous allons faire autrement demain. On peut ainsi sans risque remettre perpétuellement un rêve au lendemain, pas besoin de changer quoi que ce soit aujourd’hui.
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