Ce qui se dit…

Depuis que je suis ma formation en PNL, ou peut-être depuis que j’ai lancé mon blog, ou encore depuis que je suis devenue fan de tout ce qui touche au développement personnel… mon entourage me prête quelques similitudes avec certains personnages surprenants! Alors j’ai mené l’enquête:

 

Il y a ce que mon amie Joséphine pense de moi quand je lui dit que l’on peut changer les choses rien qu’en changeant notre manière de réagir face aux situations… Quand je parle concept, quand je cite des chiffres, des pourcentages sortis tout droit d’analyses réelles, soit 10% de circonstances versus 90% de réaction… voici ce qu’elle retient:

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Ce que mon équipe pense de moi quand ils me parlent d’un dossier complexe et finalement réglé mais que je leur demande s’il y a autre chose que je devrai savoir ; et qu’ils me répondent « Mais comment tu sais?! »

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Ce que mon beau-frère pense quand je lui dit que le bourdon ne peut scientifiquement pas voler à cause de sa morphologie mais comme cet insecte poilu et bedonnant n’en a aucune idée, rien de l’empêche de voler. Pas même ce qu’en pensent les grands scientifiques de ce monde! Ce qui m’amène toujours à conclure: nous devrions nous aussi imiter le bourdon pour aller de l’avant sans tenir compte de l’avis des autres… Il me trouve… bizarre.

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Ce que mon amoureux pense de moi quand je lui prouve que nous avons des guides qui veillent sur nous et nous envois des signes sur notre route à condition que nous sachions les voir…comme toutes ces petites pièces que je trouve souvent sur mon chemin!

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Mes parents, eux, restent stoïques. Je ne suis pas à mon premier coup. Ils me pratiquent depuis toujours, savent mieux que personne  que je suis légèrement, comment dire, o-bsti-née. Piercing, tatouage, cours de sirène, entretien pour être animatrice télé ou cours de claquettes… Ils n’ont pas été surpris lorsque je leur ai dit récemment que j’aimerai apprendre à avaler des sabres et faire du Burlesque…

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Quant à moi, alors que j’étais la version Rachel ces dix dernières années, concernée par le regard des autres; c’est la version Phoebe que je suis aujourd’hui. La version libre et amusante de mener ma vie!

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Je ne démentirai aucun de ces personnages que l’on me prête, je les aime tous et suis un un peu (beaucoup?) de chacun.

L’équation qui tue!

Quand les gens parlent de leur salaire, ils énoncent ce qu’il gagne sur une année. Ce qui sert alors d’élément de comparaison. Neil Pasricha nous propose une nouvelle lecture de ces chiffres, véritable curseur social.

D’abord il prend l’exemple de quelqu’un tout droit sorti de la prestigieuse université Harvard. Soit :

 

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Mais une erreur s’est glissée dans cette équation. Personne ne travaille toutes les heures comprises dans une année. Pour être tout à fait juste, il convient de soustraire les vacances, week-end, nuits…

Pour évaluer votre salaire, il faut le ramener au taux horaire _ c’est bien ainsi que notre paye nous est distribué à la fin du mois. Tous les jobs paient à l’heure. Que vous travaillez 40h/semaine, 80h/semaine ou plus de 100h par semaine. Peu importe ce que vous gagnerez à la fin, le numérateur est votre salaire, et le dénominateur le temps que vous travaillez.

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L’équation du bonheur

 

Six mots peuvent changer votre regard sur le bonheur… où plutôt, l’ordre de ces six mots peuvent avoir une influence énorme sur la qualité de votre vie!

 

Le modèle du bonheur que nous apprenons enfant, est aujourd’hui obsolète. Nous pensons que travailler fort, pour atteindre le succès nous permettra de faire de nous un homme heureux, épanouie et accompli.

Le scénario se résume donc ainsi :

 

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Au Pigeon espresso bar

La fin de semaine, quand quelques heures de  libre se profilent à l’horizon,  l’un de mes grands plaisirs est de partir en quête d’un nouveau café. L’élu ce vendredi: le Pigeon espresso bar qui se revendique comme faisant le pire café au monde _ le proprio de l’endroit Jonathan Dresner dit qu’il a voulu, avec cet auto-qualificatif du pire café au monde, « rire gentiment du côté snob souvent associé aux établissements dits de «troisième vague», où chacun affirme avoir LE meilleur café du monde. » C’est bien tout le contraire, le café y est choisi minutieusement, est frais, et très bon. Quand à la déco, absolument canon.

 

 

Il me tardait de visiter cet endroit, véritable hommage à mon nom de famille. Et comme j’aime à penser qu’une découverte en amène une autre…  J’ai découvert par hasard un film basé sur une histoire vraie dont le héros est le pigeon Cher ami. Et quel meilleur moment pour vous la conter, mon café glacé à la main.

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Alors voilà…

Cher Ami est un pigeon voyageur donné par des pigeonniers du Royaume-Uni, entraîné par des pigeonniers américains, puis mis au service de la France lors de la Première Guerre mondiale. Il participa au sauvetage du Lost Battalion de la 77e division d’infanterie américaine lors de la bataille de l’Argonne, en octobre 1918.

Le 3 octobre 1918, plus de 500 hommes sont pris au piège dans une petite dépression sur le côté d’une colline proche des lignes ennemies, sans nourriture ni munitions. Ils commencent également à subir des tirs amis de la part des troupes alliées qui ne sont pas au courant de leur position.

Cernés par les Allemands, plusieurs soldats sont tués ou blessés les deux premiers jours et seuls 200 hommes restent encore en vie. L’un d’eux, Charles Whittlesey envoie alors des messages par pigeon.

Le premier pigeon, portant le message « Beaucoup de blessés. Nous ne pouvons pas évacuer. » est abattu.

Un second pigeon est envoyé avec le message « Les hommes souffrent. Pouvons-nous avoir un soutien? » et est lui aussi tué.

Le dernier pigeon, Cher Ami, est alors envoyé, portant dans une canule à sa patte gauche le message « Nous sommes le long de la route parallèle au 276.4. Notre propre artillerie fait un tir de barrage sur nous. Pour l’amour du ciel, arrêtez! ».

Alors que Cher Ami vole vers sa maison, les Allemands l’aperçoivent et ouvrent le feu durant plusieurs minutes. Les hommes du Lost Bataillon voient Cher ami se faire toucher et tomber au sol, mais celui-ci reprend son vol. Il parvient à regagner son abri au quartier général de la division, couvrant 25 miles en 25 minutes (90 km/h), permettant de sauver la vie de 194 hommes. Durant cette mission, Cher Ami délivre son message bien qu’il ait été touché à la poitrine et à un œil, qu’il soit couvert de sang et qu’une de ses pattes ne tienne plus que par un tendon.

Cher Ami est alors le héros de la 77e division d’infanterie américaine, ce qui lui vaut des soins de la part des médecins du régiment. Ils ne furent pas capables de sauver sa patte, mais lui firent une prothèse en bois. Une fois sa santé retrouvée, Cher Ami fut rapatrié aux États-Unis par bateau, le général John J. Pershing, assistant personnellement à son départ de France.

 

Cher ami

FIN.