Six mots peuvent changer votre regard sur le bonheur… où plutôt, l’ordre de ces six mots peuvent avoir une influence énorme sur la qualité de votre vie!

 

Le modèle du bonheur que nous apprenons enfant, est aujourd’hui obsolète. Nous pensons que travailler fort, pour atteindre le succès nous permettra de faire de nous un homme heureux, épanouie et accompli.

Le scénario se résume donc ainsi :

 

Mais cela ne fonctionne pas ainsi dans la vraie vie. Ce modèle est cassé. Nous faisons un bon travail, connaissons de beaux succès mais au lieu d’être heureux, nous programmons juste nos prochains défis. Nous préparons la prochaine étape, le prochain niveau, le prochain job. Pourquoi s’arrêter après un Baccalauréat quand l’on peut pousser jusqu’à la Maitrise ? Pourquoi s’arrêter au poste de responsable quand on peut obtenir celui de directeur ? Pourquoi s’arrêter à une maison lorsqu’on peut en avoir deux ? Nous ne sommes jamais comblés. Nous ne sommes jamais heureux.

 

Que se passe-t-il si nous déplaçons les 2 derniers mots de la fin pour les placer au tout début. Ce qui donnera alors l’équation suivante :

 

 

Et là tout change !

Si vous commencez par être heureux, alors vous commencez par vous sentir bien. Vous êtes bien. Vous en action. Vous bougez. Vous vous connectez. Vous rencontrez. Vous partagez. Qu’est ce qui arrive alors ? Vous faites un excellent travail parce que vous vous sentez bien dans  ce que vous faites. Qu’est-ce qu’un bon travail amène ? De beaux succès. Des compliments, de la reconnaissance et un sentiment d’accomplissement personnel qui apportent de belles récompenses et opportunités.

 

La seule chose à faire ici, en premier, avant même d’entreprendre quoique ce soit : ÊTRE HEUREUX. Lorsque vous l’êtes alors tout votre être, votre cerveau, votre attitude, votre comportement réfléchis une énergie contagieuse, vous brillez, tout simplement.

Le philosophe américain William James disait « La plus grande découverte toutes générations confondues est que l’être humain peut changer sa vie rien qu’en changeant son attitude ».

 

Extrait de The happiness equation, de Neil Pasricha