Je crois que…

C’est l’esprit qui fait le bien ou le mal, qui nous rend heureux ou malheureux, riche ou pauvre. Edmund Spenser

 

Lorsqu’un dompteur dompte un éléphanteau, il lui accroche une corde à la patte rattachée à un piquet dans le sol. Plus ou moins long, ce fil délimite sa zone de jeu. Durant les premiers jours, l’éléphanteau essaiera de se dégager de ce fil encombrant jusqu’à finalement s’épuiser et accepter ce lien.

L’éléphanteau vient de comprendre que s’échapper est impossible. Le dompteur retirera le fil et l’éléphant devenu adulte, fort de ses 5 tonnes ne cherchera jamais à s’enfuir…pensant avoir encore un fil à la patte.

Il en est ainsi nos croyances, le fil à notre patte.

Les croyances agissent comme des balises, comme des points de repères qui donnent du sens à ce que nous voyons, entendons et ressentons. Et nous les validons inconsciemment à travers notre discours et nos attitudes. Nous évaluons les expériences de la vie d’après nos croyances: une personne aura un bon ou un mauvais comportement, une choses sera bonne ou mauvaise. Celles-ci nous permettent d’attribuer une « vérité » à ce que nous vivons. Sans croyance, nous serions perdus et désorientés. Elles nous permettent de répondre à nos incertitudes qu’elles soient quotidiennes ou existentielles.

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Les cicatrices sont des titres de gloire

 

« Tu fais quoi dans la vie?

Je poursuis des émotions, je trébuche dans des regards, je collectionne les cicatrices »

 

 

La marque sur son bras qu’elle s’est faite en s’étalent sur un Rubik’s cube quand elle faisait le poirier sur le canapé. La ligne sur son bidon, souvenir de l’opération qu’il a dû subir pour enlever son appendicite. La petite scarification sur son front, façon Harry Potter : pour un enfant, il n’y a pas de honte à avoir des cicatrices. Les cicatrices signifient que quelque chose s’est passé – et ils veulent en parler.

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Le pouvoir d’un nom

Connaissez-vous Jim Farley? C’était l’agent électorale de Franklin D. Roosevelt. Il avait la réputation de connaitre le prénom de plus cinquante mille personnes. Cette méthode prodigieuse contribua fortement à installer Franklin D. Roosevelt dans le fauteuil présidentiel.

Une méthode simple.

Chaque fois qu’il rencontrait une nouvelle personne, il recherchait ses noms et prénom, avec leur orthographe exacte ; il se renseignait sur sa famille, sa profession. Il gravait soigneusement tous ces détails dans son esprit, et, quand il revoyait la personne _ même une année plus tard _ il était capable de la saluer et de lui demander des nouvelles de sa famille! Pas étonnant qu’il est été si populaire.

Jim Farley savait que chacun préfère son nom à tous les autres noms de la terre. Souvenez-vous de ce nom, prononcez-le correctement, et vous faites à son propriétaire un compliment subtil et apprécié. Mais si vous l’oubliez, si vous l’orthographiez mal, vous indisposez votre interlocuteur ou votre destinataire.

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Lire et devenir

 

Chaque réponse à chaque problème est déjà imprimée dans un livre, et attend d’être découvert quelque part sur l’étagère d’une bibliothèque ou le rayon d’une librairie.

 

Tous les problèmes que n’importe qui a jamais eus et aura jamais durant le cours de sa vie ont déjà été posés. Mais plus important encore, les réponses et les solutions sont toutes inscrites dans les pages des livres. Lire. Lire les bons livres. Apprendre comment ceux qui nous ont précédé ont traité les défis auxquels nous faisons face actuellement. C’est aussi simple que ça! La réponse est dans les livres.

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