L’équation qui tue!

Quand les gens parlent de leur salaire, ils énoncent ce qu’il gagne sur une année. Ce qui sert alors d’élément de comparaison. Neil Pasricha nous propose une nouvelle lecture de ces chiffres, véritable curseur social.

D’abord il prend l’exemple de quelqu’un tout droit sorti de la prestigieuse université Harvard. Soit :

 

Équation

 

Mais une erreur s’est glissée dans cette équation. Personne ne travaille toutes les heures comprises dans une année. Pour être tout à fait juste, il convient de soustraire les vacances, week-end, nuits…

Pour évaluer votre salaire, il faut le ramener au taux horaire _ c’est bien ainsi que notre paye nous est distribué à la fin du mois. Tous les jobs paient à l’heure. Que vous travaillez 40h/semaine, 80h/semaine ou plus de 100h par semaine. Peu importe ce que vous gagnerez à la fin, le numérateur est votre salaire, et le dénominateur le temps que vous travaillez.

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L’équation du bonheur

 

Six mots peuvent changer votre regard sur le bonheur… où plutôt, l’ordre de ces six mots peuvent avoir une influence énorme sur la qualité de votre vie!

 

Le modèle du bonheur que nous apprenons enfant, est aujourd’hui obsolète. Nous pensons que travailler fort, pour atteindre le succès nous permettra de faire de nous un homme heureux, épanouie et accompli.

Le scénario se résume donc ainsi :

 

equation1

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Tu vois toujours les jolies choses toi!

C’est ce qu’une collègue de travail m’a dit hier, dans la voiture au petit matin, en direction du travail. Le ciel était chargé de nuages gris, la pluie tombait depuis 3 jours, petit moral pour un mois d’août… Et c’est là que je lui ai fait remarqué qu’un arc-en-ciel se dessinait au-dessus de Montréal.

Oui, je vois les arc-en-ciel dans les ciels gris moi. Parce que je me suis entraînée, j’ai « travaillé » pour apprendre à voir les jolies choses. Et aujourd’hui, sans effort, je vois l’EXTRA dans l’ordinaire.

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100%

« Il y a une différence entre l’intention et l’engagement. Lorsqu’une chose vous intéresse, mais sans plus, vous ne la ferez que si les circonstances s’y prêtent. Par contre, lorsque vous prenez un engagement, il n’y a pas d’excuses qui tiennent, seuls les résultats comptent. »

Ken Blanchard

 

Dans les vie, les lauriers de la victoire appartiennent aux gens qui s’engagent à cent pour cent, à ceux qui, pour atteindre leurs objectifs, sont prêts à faire « ce qu’il faut ». Ils donnent tout ce qu’ils ont : ils misent tout ce qu’ils possèdent pour atteindre la cible fixée, qu’il s’agisse de remporter une médaille d’or aux jeux olympiques, d’obtenir le prix du meilleur vendeur de l’année, de décrocher un A en microbiologie, ou d’acquérir la maison de leurs rêves.

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Se plaindre c’est savoir que quelque chose de meilleure existe

Se plaindre c’est savoir que quelque chose de meilleure existe. C’est avoir un modèle idéal, un repère auquel on se réfère et auquel on compare notre situation actuelle. C’est savoir que cela pourrait être mieux, définitivement mieux MAIS nous refusons d’admettre qu’il nous revient de faire en sorte que cela arrive. Qu’il s’agisse de nos relations avec les autres, notre situation économique, ou encore notre vie en général ; on a tous un modèle en tête que l’on aimerait copier.

Si nous n’étions pas persuadé que quelque chose de meilleur existe – davantage d’argent, une maison plus spacieuse, un emploi plus gratifiant – nous ne nous plaindrions pas. Nous avons en tête l’image d’une situation idéale que nous préférons à notre réalité présente, mais nous ne voulons pas prendre les risques qu’il faut pour nous y rendre.

Remarquerez comme nos plaintes concernent uniquement ce sur quoi nous pensons avoir du pouvoir. Personne ne se plait jamais de la gravité terrestre par exemple! Parce que personne ne peut y faire grand-chose bien qu’elle soit la cause de nos chutes. Comme nous n’y pouvons rien, nous l’acceptons.

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