Vous êtes libre si…

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1) Vous ne souhaitez pas changer de place avec qui que ce soit.

 

2) Vous surmontez les échecs sans vous arrêter ni regarder en arrière.

 

3) Vous acceptez et appréciez les éloges, mais ne les prenez jamais à ♥.

 

4) Vous ne faites pas d’excès de table et n’êtes pas porté à suivre de régimes.

 

5) Vous affrontez et faites ce qui est vrai pour vous, sans craindre les conséquences.

 

6) Vous n’attendez rien de personne.

 

7) Vous ne pensez plus à l’argent que vous avez, ou n’avez pas.

 

8) Vous ne laissez pas les contrariétés du moment vous troubler dans le moment présent.

 

9) Les vieux ressentiments ne vous intéressent pas.

 

10) Vous passez plus de temps seul et appréciez votre solitude.

 

 

 

Source:

Les clés pour lâcher-prise, de Guy Finley

Les 3 petits cochons

Saviez-vous que ce conte en apparence « pour enfant » recèle bien plus qu’une simple histoire de maison et de grand méchant loup ?! En y regardant de plus près, on y trouve deux leçons de vie bien plus salées qu’il n’y parait.

D’abord, ce conte parle de comment assister à deux fiascos affligeants contre une réussite exemplaire! Les trois visant pourtant le même objectif : construire sa maison.

Ensuite, comment reconstituer les ingrédients de la réussite d’une construction solide. Parce que construire sa maison est un acte fort. Symboliquement, la maison représente son intérieur, son être profond, c’est-à-dire soi-même. Et comme beaucoup d’entre nous, les petits cochons recherchent de la protection et de la sécurité.

Toutes les clefs données sur le « comment » on arrive à rendre suffisamment solide sa construction personnelle face aux vents contraires de la vie sont toujours les bienvenues…

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Donner du sens #brown-out

 

Les bâtisseurs de cathédrales

 

Un bourgeois de la ville de Strasbourg avait l’habitude de se lever de bon matin pour voir comment avançaient les travaux de la cathédrale. Chaque matin, il apercevait trois tailleurs de pierre. Le premier tailleur de pierre, assis sur un banc, travaillait mécaniquement, les yeux dans le vide, quand le bourgeois lui demande ce qu’il était en train de faire, l’autre lui répondit, l’air un peu ahuri : « Et bien, tu ne vois pas? Je taille une pierre pour nourrir ma famille. « 

Non loin de là, un second tailleur de pierre effectuait le même travail, avec les mêmes outils et la même technique, mais de façon un peu plus concentrée et plus méthodique. Quand le bourgeois de Strasbourg lui demanda ce qu’il était en train de faire, il expliqua posément qu’il taillait une pierre pour construire un mur. L’argent lui permettrait de s’acheter une boutique.

Quelques mètres plus loin, un troisième tailleur de pierre travaillait consciencieusement sa matière première avec un respect quasi religieux. Il avait exactement les mêmes outils et la même technique, mais une intense concentration, beaucoup plus que les deux autres tailleurs de pierre. Ce qui le rendait différent, c’est la délicatesse avec laquelle il taillait sa pierre comme s’il s’agissait d’un diamant. Et quand le bourgeois demanda ce qu’il était en train de faire, il répondit dans un large sourire : « Je suis en train de construire une cathédrale. »

S’avançant encore de quelques pas, notre passant, de plus en plus intéressé s’approcha du maître d’œuvre qui lissait une pierre de sa main et le questionna sur ce qu’il était en train de faire. Celui-ci lui répondit, le regard plein de lumière : « Je construis une œuvre qui mettra l’homme plus près de Dieu! ».

Anonyme

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